Le Pape François et l’inédit d’une réforme

Pourquoi l’action du Pape François est-elle si importante ? Pour tenter de comprendre l’importance du pontificat du pape François et pour apprécier ce qui en fait un Pape réformateur, il faut nous rapporter à l’action de Saint François d’Assise, qui inspire tant l’actuel Pape. De même que le jeune François d’Assise répondit à l’appel du Seigneur à rebâtir son Eglise en initiant l’ordre des frères mendiants, les franciscains, le Pape (...)

Lettre apostolique SUBLIMITAS ET MISERIA HOMINIS DU PAPE FRANÇOIS POUR LE QUATRIÈME CENTENAIRE DE LA NAISSANCE DE BLAISE PASCAL

Grandeur et misère de l’homme forment le paradoxe qui se trouve au cœur de la réflexion et du message de Blaise Pascal, né il y a quatre siècles, le 19 juin 1623, à Clermont, dans le centre de la France. Dès l’enfance et tout au long de sa vie, il a cherché la vérité. Avec la raison, il en a tracé les signes, notamment dans les domaines des mathématiques, de la géométrie, de la physique et de la philosophie. Très tôt, il a fait des (...)

Courte et fulgurante : la vie de Blaise Pascal (1623-1662)

Voici 400 ans naissait le 19 juin 1623, Blaise Pascal. Dès son jeune âge, son père Étienne se charge de sa formation intellectuelle. Orphelin de mère à l’âge de 3 ans, Blaise Pascal ne va cesser de méditer sur le vide et le néant. Le néant relève de la spéculation métaphysique tandis que le vide tel qu’il l’envisage, est une réalité physique sur laquelle il est possible de travailler. Pour quelles raisons l’itinéraire intellectuel et (...)

Seule la pensée de la mort est civilisatrice

La pensée de la mort est la matrice des civilisations. Notre époque rechigne à admettre cette évidence, car elle refuse de penser la mort, de s’affronter à elle. Au contraire, elle s’engage sur la voie d’une collaboration coupable avec la mort. Les faits sont là : toutes les civilisations ont trouvé dans la finitude humaine et le devenir des morts, non le motif d’une résignation mais celui d’un dépassement, d’un accomplissement de (...)

Vous avez dit « Pentecôte » ?

En grec ancien, cela veut dire « 50ème jour ». Selon la Torah, la fête de Chavouot (don de la loi à Moïse) doit systématiquement tomber 50 jours après Pessah (Pâques). Il est ô combien flagrant que le calendrier chrétien repose sur un substrat juif, à l’insu hélas de la majorité des chrétiens et des juifs eux-mêmes [87]. Jésus est juif. Il était un authentique pratiquant. Les chrétiens ont visiblement encore du mal à être à la hauteur (...)